Microsoft lance un centre de lutte contre la cybercriminalité

Microsoft lance un centre de lutte contre la cybercriminalité

Le géant américain Microsoft a annoncé le lancement d’un centre destiné à « faire avancer le combat mondial contre la cybercriminalité ». Ce nouveau centre intitulé le Cybercrime Center vient d’être inauguré sur le campus de son siège social américain.

Ce centre « permettra d’associer l’expertise légale et technique de Microsoft ainsi que des outils et technologies innovants à l’expertise déjà développée » pour lutter notamment contre les virus, les atteintes à la propriété intellectuelle ou la pédopornographie.

Le centre sera situé au siège de Microsoft aux Etats-Unis, dans la ville de Redmond. Ce centre est aussi le siège de la DCU (Digital Crime Unit) qui traque les botnets et autres malwares, ainsi que l’IPCU (Intellectual Property Crimes Unit). Le regroupement de ces entités a du sens car certaines informations trouvées par une unité peuvent servir à l’autre dans le domaine de la cybercriminalité. Cela représente désormais 100 collaborateurs et plus de 12 laboratoires dans le monde.

Le centre de Redmond offrira près de 1 600 m² avec deux laboratoires d’investigations, une salle des opérations, des espaces de réunions et de travail sécurisés. Il est aussi doté d’un espace réservé à des personnes extérieures à l’entreprise, « afin de permettre à des spécialistes de la cybercriminalité du monde entier de travailler avec les experts de Microsoft pour un temps indéterminé ».

« En combinant des outils et technologies sophistiqués avec les bonnes personnes et de nouvelles perspectives, on peut rendre internet plus sûr », a assuré David Finn, responsable de l’unité de Microsoft chargé de la criminalité en ligne.

Le centre fournit des outils pour traquer les cybercriminels, en particulier une application nommée SitePrint, qui détecte les traits communs sur différents sites malveillants apparemment sans lien.

Parmi les autres outils, la DCU utilise PhotoDNA dans le cadre des enquêtes sur la pédopornographie en ligne. Cette solution vise à tracer les signatures des photos à partir d’une concordance de hash (code d’identification). Facebook utilise par exemple ce système pour détecter et supprimer les images pédopornographiques. Sur la partie botnet, la DCU affiche un impressionnant tableau de chasse avec Waledac, Rustock, Kelihos, Zeus, Nitol et Citadel.

L’unité s’appuie par ailleurs sur un service juridique spécialisé pour demander rapidement la saisine des serveurs de commandes et contrôle utilisés par les hackers.

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