47% des Français victimes de la cybercriminalité

47% des Français victimes de la cybercriminalité

Si les Français comment à prendre conscience des risques de la cybercriminalité, c’est souvent en après en avoir subi les conséquences.

Ces chiffres impressionnants font froid dans le dos. Près d’un Français sur deux a été confronté à des choses de la cybercriminalité au cours de sa vie, contre 40% en Europe. C’est ce qui ressort du rapport annuel de Norton/Symantec sur les cyber-risques. Le spécialiste des logiciels antivirus a fait cet automne un sondage en interrogeant plus de 17 000 consommateurs dans le monde dont 6 000 en Europe et en France.

 

La cybercriminalité prend des formes multiples et a des conséquences non négligeables. Ainsi, on découvre que :

  • les Français interrogés ont passé en moyenne dix-neuf heures, soit plus de deux jours de travail, à gérer les conséquences de ces cybercrimes.
  • Parmi les victimes interrogées en France, 12 % a été touché par un «ransomware», cette sorte d’extorsion numérique qui touche principalement les smartphones et les tablettes via un logiciel qui les infecte.
  • 20 % des français s’est aussi fait dérober ses données bancaires à la suite d’achats en ligne.
  • Au moins 15% des Français ont appris via un tiers – une entreprise ou une administration que leurs données personnelles s’étaient faites pirater.

« Après des années de pédagogie, les utilisateurs ont toutefois beaucoup plus conscience des dangers en ligne», explique Laurent Heslault, directeur des stratégies de sécurité de Symantec. Même le niveau de connaissance de la cybercriminalité et de ses conséquences est très disparate.

On voit qu’il y a une différence de génération. Ainsi, toute chose provenant de la cybercriminalité touche plus la jeune génération, plus connectée, que les papys-boomers, qui sont moins habitués à Internet mais plus méfiants. En effet, 27 % de la génération Y (15-30 ans) en Europe a été exposée à au moins un acte de cybercriminalité en 2014 alors que chez les seniors, ils ne sont que 19 %.

Ces derniers souffrent de leur manque de savoir-faire technique puisque seulement 59 % savent, par exemple, changer les paramètres de vie privée sur leur ordinateur contre 89 % chez les plus jeunes.

Si on continue dans les chiffres :

  • Tout juste 13 % des Français ont la sensation d’avoir le contrôle total de leur sécurité sur Internet.
  • 55 % des personnes interrogées craignent plus de se faire pirater leurs données bancaires sur un site marchand que de se faire voler leur portefeuille. La mobilité inquiète aussi les utilisateurs : 44% des sondés sont convaincus qu’il est plus facile de hacker un smartphone ou ordinateur portable qu’un PC fixe.

Suivez donc ces conseils pour éviter les pièges :

  • Ayez les mêmes réflexes de prudence en ligne que dans la vraie vie en évitant par exemple de partager vos mots de passe comme vous le faîtes avec votre code de carte bancaire.
  • Veillez à bien mettre à jour tous ses logiciels à la fois sur PC mais aussi en téléchargeant les dernières versions avec correctifs des systèmes d’exploitation pour votre smartphone et votre tablette.
  • Investissez dans un logiciel de protection et de surveillance afin de vous prémunir contre les logiciels malveillants qui se cachent parfois dans les téléchargements illégaux ou dans des applications infectées. Evitez les logiciels de protection gratuits qui détiennent souvent eux-mêmes des failles
  • Utiliser un service VPN qui permet de réduire vos mouvements en ligne en remplaçant vos informations de routage, grâce à une adresse IP rendue anonyme. Les serveurs sécurisés gardent le secret des requêtes que vous effectuez, afin que personne ne puisse voir votre historique de navigation. Et votre connexion Internet est cryptée avec un système ultra-puissant qui vous protège des pirates et des oreilles clandestines qui tentent d’écouter ou d’obtenir vos informations sensibles. Votre adresse IP est masquée : quand vous êtes connecté au VPN, personne ne peut accéder à votre ordinateur ou à votre appareil mobile, sans passer par les serveurs protégés du VPN.
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Commentaires (1)

  • BAZINET

    Bonjour,
    Je me permets de vous raconter ma mésaventure, car j’ai été victime d’une escroquerie sur le site de rencontre LOVOO.
    Je m’appelle Alexis BAZINET, Il y a trois semaines j’ai fait connaissance par le biais de ce site d’une femme prénommée Christine Morel. Nous échangions des messages ainsi que des photos et deux visioconférences. Une semaine après notre rencontre elle me signale quelle doit se rendre en Côte d’ivoire pour affaire. Jusque-là, pas d’inquiétude de ma part. La deuxième semaine elle m’annonce quelle à des problèmes pour payer ses dettes là-bas pour pouvoir rentré en France. Elle me demande de l’aide financière, mais j’ai refusé car j’étais très méfiant. Elle me propose alors, prétextant ne pas avoir de compte bancaire personnel de m’envoyer un chèque d’un montant de 5800 euros de son oncle, pour que je l’encaisse sur mon compte et de l’aider ensuite. Etant de nature généreuse et serviable j’ai accepté avec réticence. Le lendemain j’ai reçu un coup de téléphone d’un homme avec un accent bizarre, disant qu’il appelle de la part de Christine Morel et me confirmant l’envoi de ce chèque. J’ai reçu ce chèque deux jours après et je l’ai encaissé aussitôt comme convenu avec elle. Ensuite elle m’a demandé de lui envoyer un premier mandat cash de 1500 euros. Ce que j’ai fait. Aussitôt, le même homme apparemment me recontacte pour vérifier si j’avais bien envoyé l’argent. Je lui confirme l’envoi. Je confie mais inquiétudes à Christine Morel, qui elle me dit que je peux avoir confiance et que cet homme et une sorte de conseiller financier de son Oncle. Ensuite je lui fais un second mandat cash de 2500 euros. Même manœuvre de la part de cet homme. Puis pour le dernier envoi par mandat cash, le virement ne peut pas être effectué car ma carte bancaire est bloquée. Je lui explique que je ne peux pas faire le virement. Et c’est à ce moment-là ou tout s’accélère et je me fais harceler de plusieurs coups de téléphone et messages de son oncle me menaçant de faire opposition au chèque de 5800 euros. Pour éviter des ennuis, je lui fais donc un virement bancaire sur le compte de la mère à son amie. Croyant être débarrasser de cette histoire, elle recommence à me demander de l’aide. A ce moment-là j’ai arrêté notre relation virtuelle et j’ai bloqué tous les numéros et le siens sur lequel ils m’harcelaient. Deux jours après j’ai relevé mon courrier et j’ai constaté une lettre de ma banque me signalant une opposition à ce chèque, du coup je me retrouve avec une dette de 5800 euros. Pris de peur je me suis rendu à la brigade pour déposer une plainte sans suite. Trois mois après toujours dans mes recherches avec l’aide des amis j’ai contacté l’ORGANISATION INTERNATIONALE DE POLICE CRIMINELLE-INTERPOL spécialisée dans les dossiers de cybercriminalité et autorisée par le Décret n° 2009-1098 du 4 septembre 2009 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et (OIPC-Interpol) et grâce aux mails, aux appels téléphoniques et aux SMS, les OPJ de cette Organisation ce sont investis personnellement pour que ces escrocs soient retracés, arrêter et présenter à la justice. J’ai été finalement remboursé et dédommagé. N’hésitez pas à la contacter

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